SEMAINE 8

Lundi il y a un vent de fou, je m’aventure sur les bords de la Dordogne.

 

Le vent me fait remonter le courant, ma planche tourne, elle est incontrôlable… Je ne peux me diriger qu’à genoux… Je parcours ainsi presque 2 km..

Sans échauffement, je force sur ma pagaie pour me diriger en vain.

Je passe un rapide en arrière… eh bien non ! je ne suis même pas tombée..

Mon directeur technique ne me voyant mal partie, il me suit sur les berges… Comme j’étais contente qu’il soit là…

On arrête les bêtises, on rentre !

La déception est là avec un beau lumbago en prime… J’ai pas tout gagné !

 

Par la même occasion, je bats mon record de vitesse à 14,4 km/h  je ne sais pas dans quel sens.

Avec 1,73 km de parcouru

 

 

Merci à mon ostéopathe préféré qui m’explique encore une fois qu’il faut m’étirer longuement 6h00 après l’effort.. Bon ;. D’accord !!

 

 

Vendredi au départ de Puybrun

 Ce n'est pas la même histoire, il fait beau, chaud et le vent est tombé ! Le squelette est remis dans l'ordre.

C'est magnifique !

Le record de vitesse est battu, le moral remonte  ; je suis à 15.2 km/h au maximum.

le petit courant d'air qui freine au milieu de la rivière à éviter avec la prise au vent... Je dois me diriger plus sur les cotés de la Dordogne à l'abris du vent.

Le travail sur la lecture de l’environnement est nécessaire à ce stade. Chercher les courants qui peuvent me porter plus vite et plus loin.. A refaire !

C'était ma première sortie en rivière de l'année... Un vrai plaisir !

La prochaine   partira de la Corrèze...

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